un petit album photo du championnat du monde au Canada.
mardi 28 septembre 2010
jeudi 16 septembre 2010
Site internet
si vous avez besoin de tenues de club ou même personnaliser, ou tous simplement des tenues de haute qualité et de plus de fabrication italienne, MS TINA FRANCE a ouvert son site internet. n'hésitez pas a allez faire une visite.
lundi 13 septembre 2010
Besoin d'aide
Je suis a la recherche d'un cadre en prêt ou mieux pour cet hiver. j'aimerais monter un deuxième vélo avec le powercranks pour pouvoir encore m'en servir dans la saison sur home trainer. Pour la géométrie, je recherche un 51 ou 52,5 maxi de long, n'hésitez pas a me contacter par mail (johan.ballatore@gmail.com).
merci de votre gratitude et de votre soutien.
merci de votre gratitude et de votre soutien.
dimanche 12 septembre 2010
Chute!!!
et oui malheureusement, il a fallu arriver a la dernière course de la saison pour me retrouver par terre. Heureusement, rien de grave, juste un peu de verni de perdu sur la jambe et le coude.
bon, avant ça revenons d'abord a la course. une organisation pour la fête du sport de la ville d'aubagne sur un circuit de 6 km et support du championnat départementale du 13. pour les sensations c'est simple il n'y en a aucune et je me retrouve, direct a tenir la barre du peloton. pendant cinq tour a fond derrière pendant que devant ce joue plusieurs, échappée différentes, au sixième tour dans la bosse je décide de faire un effort pour essayer de me débloquer un peu. un bon petit coup de cinq coureur mais ça ne s'entend pas et ça rentre très vite. et a cinq tour de l'arrivée, un gars devant a une minute, deux gars se sont intercaler et je fourni mon effort en bas de la bosse, un coureur dans la roue, je rentre en haut deux autres rentre peu de temps après et l'entente se fait de suite pour rechopper peu de temps après le seul coureur de devant. après avoir fait un bel écart l'arrivée ce feras au sprint. un collègue, Eleon laurent, qui était avec moi dans cette échappée me propose de l'amener au sprint. étant battu d'avance avec deux gros sprinters avec nous j'accepte de me sacrifier. Après quelques attaques je me mets a la barre, a 1,5 km pour m'effacer a 400 mètres, mon collègue bien caler dans la roue se lance et il a déjà 20 mètres d'avance sur le deuxième et plus personne dans les roues pour disputer le podium, mais malheureusement dans le dernier virages je glisse comme un cadet après mettre relever je passe donc la ligne quand même a la septième place.
maintenant, pansements et repos.
bon, avant ça revenons d'abord a la course. une organisation pour la fête du sport de la ville d'aubagne sur un circuit de 6 km et support du championnat départementale du 13. pour les sensations c'est simple il n'y en a aucune et je me retrouve, direct a tenir la barre du peloton. pendant cinq tour a fond derrière pendant que devant ce joue plusieurs, échappée différentes, au sixième tour dans la bosse je décide de faire un effort pour essayer de me débloquer un peu. un bon petit coup de cinq coureur mais ça ne s'entend pas et ça rentre très vite. et a cinq tour de l'arrivée, un gars devant a une minute, deux gars se sont intercaler et je fourni mon effort en bas de la bosse, un coureur dans la roue, je rentre en haut deux autres rentre peu de temps après et l'entente se fait de suite pour rechopper peu de temps après le seul coureur de devant. après avoir fait un bel écart l'arrivée ce feras au sprint. un collègue, Eleon laurent, qui était avec moi dans cette échappée me propose de l'amener au sprint. étant battu d'avance avec deux gros sprinters avec nous j'accepte de me sacrifier. Après quelques attaques je me mets a la barre, a 1,5 km pour m'effacer a 400 mètres, mon collègue bien caler dans la roue se lance et il a déjà 20 mètres d'avance sur le deuxième et plus personne dans les roues pour disputer le podium, mais malheureusement dans le dernier virages je glisse comme un cadet après mettre relever je passe donc la ligne quand même a la septième place.
maintenant, pansements et repos.
samedi 11 septembre 2010
Article sur les manivelles Power cranks
j'ai recuperer cet article sur les Power cranks suite a l'achat d'une paire pour s'entrainer avec cet hiver.
Essai manivelles POWERCRANKS
Powercranks ; L’idée :
Dans le pédalage il y a la phase de poussée qui est la plus simple mécaniquement et la plus rentable, mais il y a aussi la partie traction et le passage des points morts qui sont, eux, préjudiciable au rendement.
Les études ont démontrées que lors de la phase de traction, même en remontant consciemment sa jambe, on avait toujours un retard par rapport à la jambe qui pousse et qu’on exerçait toujours une force négative sur la pédale (dirigée vers le bas et l’arrière). C’est donc la jambe qui pousse qui doit vaincre cette résistance supplémentaire.
De même, plus que le travail conscient de la cheville, c’est "l’élan" pris par la vitesse de rotation qui aide à passer les points morts.
L’idée était donc d’apprendre à chaque jambe à remonter son propre poids et à travailler seule son passage aux points morts hauts et bas. D’ou l’idée de manivelles indépendantes.
Powercrancks ; Le système :
Comment concrétiser cette idée. Pour faire simple imaginez un système de roue – libre dans chaque manivelle. Quand vous pédalez vers l’avant la manivelle est en prise avec l’axe de pédalier, mais dés que vous cessez d’exercer une force la manivelle est libre et n’entraîne plus rien. Idem pour l’autre. Avec ce système les manivelles sont complètement indépendantes ; cela revient à faire du pédalage d’une jambe mais avec les 2.
Vous pourrez ainsi frimer avec vos collègues (une fois habitué) et les doubler en pédalant les 2 jambes parallèles ou d’une seule jambe (faudra bosser un peu avant..) !!
Powercranks ; Les avantages attendus :
Le principal avantage est de pouvoir exercer une force positive sur tout le cycle de pédalage.
Le 2ème est d’apprendre à passer les points morts efficacement.
(En ce sens, et quoi qu’en pense la majorité des gens, les manivelles Powercranks, surtout utilisées pour l’entraînement, ne sont pas concurrentes du plateau Rotor. Elles peuvent même être complémentaires. Rien n’empêche de mettre un plateau Rotor avec les Powercranks pour les compétitions. L’idéal étant d’avoir 2 vélos. Un d’entraînement avec Powercranks et l’autre de compétition avec le Rotor).
Le 3ème avantage est de synchroniser ses jambes. On sent très vite quand les jambes ne sont pas en phase et l’autocorrection se fera d’elle même.
Le 4ème est de muscler chaque jambe de manière équilibrée puisque chaque jambe participe seule au mouvement.
A vélo le gain maximal estimé se situe autour de 30 - 40% de puissance, ce qui se traduirait par un gain de vitesse d’environ 5 Km/h. Le gain moyen se situant, lui, autour de 1 à 3 Km/h.
Un 5ème avantage, important pour nous triathlète, est le gain à pied. En effet, remonter nos jambes va nous obliger à muscler nos muscles de la hanche dans un mouvement similaire à celui fait lorsque nous remontons les jambes en courant (un peu comme si, en PPG, on faisait des montées de genoux). La différence de taille c’est que dans notre cas les manivelles Powercranks nous obligent à le faire sur des périodes infiniment plus longues et le travail est donc plus bénéfique.
On voit donc que sur le papier ces manivelles sont vraiment intéressantes et séduisantes. Passons donc aux choses sérieuses.
Powercrancks ; L’essai :
Bien qu’en contact avec Franck Day depuis longtemps, j’ai mis un peu de temps à commander ces manivelles. Je les ai reçu début novembre et les utilise donc depuis 6 mois (hormis pour les compétitions où je remet mon pédalier Campagnolo Record carbone).
J’ai commencé prudemment sur home-trainer (et avec raison..). La première séance a durée exactement 20’ et je n’aurais pas réussi à faire 30’’ de plus. Ce n’est pas que ce soit extrêmement dur mais les muscles de la hanche, peu habitué à ce genre d’effort, ne pouvaient pas continuer.
Il faut aussi savoir que, pour les mêmes raison, la fréquence de pédalage est beaucoup plus basse que ce dont vous avez l’habitude. Sur mes premiers entraînements j’étais à environ 70-75 tr/mn contre 85-90 d’habitude.
Il m’a fallu 1 mois pour arriver à faire 45 mn.
J’ai décidé alors de faire un test sur la route sur mon parcours vallonné habituel.
1ère particularité : le poids. Le système complet doit peser environ 1 Kg de plus que son équivalent classique.
2ème particularité : le démarrage. Les 2 manivelles étant en bas, il faut en remonter une, appuyer pour faire avancer le vélo mais ensuite l’autre manivelle étant toujours en bas, vous vous retrouvez avec les 2 jambes en bas !! C’est un coup à prendre mais au début je conseille les démarrages en descente….
3ème particularité : les trous ou dos d’âne. D’habitude, pour les éviter, vous mettez vos jambes en opposition et "sautez" l’obstacle. Maintenant, si vous faites la même chose vous vous retrouvez les 2 jambes en bas et les fesses seulement à quelques mm au dessus de la selle. Donc là aussi il faut faire attention au début.
Idem lorsque vous voulez vous mettre en danseuse. Avec les Powercrancks le mouvement ressemble plus à de la course à pied et il vaut mieux s’entraîner sur le HT avant (ou choisir une route déserte…).
Enfin, dans les virages il faut penser à relever la manivelle du côté intérieur, car sinon elle restera en bas et va toucher la route.
Cependant ne vous inquiétez pas car toute cette adaptation se fera naturellement et progressivement. Il faut quand même le garder à l’esprit.
Cette première sortie de 40 Km ne s’est pas trop mal passée mais a été quand même très dure et plus lente que ce que j’avais l’habitude de faire d’environ 10%.
Pendant ces 6 mois j’ai donc d’abord augmenté progressivement les distances (j’en suis actuellement à 135 Km pour ma plus longue sortie. Soit 4h 15). J’ai ensuite travaillé la vélocité pour habituer ces nouveaux muscles à remonter vite (j’en suis actuellement à pouvoir tenir un rythme de 80 tr/mn). J’ai également travaillée la puissance explosive (la force venant d’elle même à cause des gros braquets que l’on tire à cause du manque de vélocité).
Aujourd’hui je suis en mesure de faire mes entraînements classiques, rouler en peloton, accélérer en danseuse… exactement comme avant et tant que je ne dépasse pas 3 heures. Au delà je continue à fatiguer. Par contre il faut savoir que 3 heures de Powercranks équivalent à beaucoup plus lorsqu’on revient aux manivelles classiques.
Le gain est dur à estimer mais il est réel. J’attends les prochaines compétitions importantes pour le quantifier. Ce qui est sur c’est que lorsque je repasse sur mon vélo de compétition j’ai de supers sensations.
Il me reste juste à toujours travailler la vélocité et le volume.
Résumé :
Les manivelles Powercrancks ne sont pas difficiles à installer. Tous les vélocistes peuvent le faire.
Il faut légèrement changer sa position (à minima relever la potence). Vous pourrez ensuite revenir progressivement à votre position initiale.
Tous les avantages attendus sont réels et ne sont pas du marketing. Par contre, tout en restant très appréciables, ils sont moins rapides et importants que ceux annoncés.
Ces résultats sont d’abord sensibles sur des courtes distances.
L’utilisation n’est pas évidente au début et il faut compter plusieurs semaines pour s’adapter au fonctionnement et plusieurs mois pour voir vraiment les effets. Avant cette adaptation toutes les sorties ne sont pas forcément agréables.
Conclusions :
A cause de leur utilisation un peu rébarbative au début et de l’effort musculaire supplémentaire demandé, ces manivelles sont destinées en priorité à ceux qui veulent augmenter leurs performances. Elles peuvent également servir en rééducation puisque chaque jambe travaille avec son propre potentiel.
J’ai demandé à tester ces manivelles car l’idée me paraissait bonne. Aujourd’hui le gain se fait sentir et je suis donc convaincu de leur valeur (même si les résultats ont mis plus longtemps que prévu à arriver). Je vais donc les garder et continuer à faire des tests terrains qui seront maintenant plus concrets puisque les compêts importantes arrivent. je suis persuadé que l’adaptation complète doit prendre au moins 1 an. Après tout, combien de temps avez vous mis pour muscler vos quadriceps ?
Enfin, voici la liste non exhaustive des athlètes utilisant les Powercrancks :
Mario Aerts, Paolo Bettini, Cadel Evans, Stéphano Garzelli, Johan Museeuw, Danielle Nardello, Ned Overend, Graig Bennett, Lisa Bentley, Cameron Brown, Heather Fuhr, Peter Kotland, Barbara Lindquist, Michellie Jones, Chris McCormack, Sheila Taormina, Petr Vabrousek etc...
Intéressés ? Voici le distributeur en France :
Jean Baptiste WIROTH à : http://wts.fr/
Bon pédalage !
Essai manivelles POWERCRANKS
Powercranks ; L’idée :
Dans le pédalage il y a la phase de poussée qui est la plus simple mécaniquement et la plus rentable, mais il y a aussi la partie traction et le passage des points morts qui sont, eux, préjudiciable au rendement.
Les études ont démontrées que lors de la phase de traction, même en remontant consciemment sa jambe, on avait toujours un retard par rapport à la jambe qui pousse et qu’on exerçait toujours une force négative sur la pédale (dirigée vers le bas et l’arrière). C’est donc la jambe qui pousse qui doit vaincre cette résistance supplémentaire.
De même, plus que le travail conscient de la cheville, c’est "l’élan" pris par la vitesse de rotation qui aide à passer les points morts.
L’idée était donc d’apprendre à chaque jambe à remonter son propre poids et à travailler seule son passage aux points morts hauts et bas. D’ou l’idée de manivelles indépendantes.
Powercrancks ; Le système :
Comment concrétiser cette idée. Pour faire simple imaginez un système de roue – libre dans chaque manivelle. Quand vous pédalez vers l’avant la manivelle est en prise avec l’axe de pédalier, mais dés que vous cessez d’exercer une force la manivelle est libre et n’entraîne plus rien. Idem pour l’autre. Avec ce système les manivelles sont complètement indépendantes ; cela revient à faire du pédalage d’une jambe mais avec les 2.
Vous pourrez ainsi frimer avec vos collègues (une fois habitué) et les doubler en pédalant les 2 jambes parallèles ou d’une seule jambe (faudra bosser un peu avant..) !!
Powercranks ; Les avantages attendus :
Le principal avantage est de pouvoir exercer une force positive sur tout le cycle de pédalage.
Le 2ème est d’apprendre à passer les points morts efficacement.
(En ce sens, et quoi qu’en pense la majorité des gens, les manivelles Powercranks, surtout utilisées pour l’entraînement, ne sont pas concurrentes du plateau Rotor. Elles peuvent même être complémentaires. Rien n’empêche de mettre un plateau Rotor avec les Powercranks pour les compétitions. L’idéal étant d’avoir 2 vélos. Un d’entraînement avec Powercranks et l’autre de compétition avec le Rotor).
Le 3ème avantage est de synchroniser ses jambes. On sent très vite quand les jambes ne sont pas en phase et l’autocorrection se fera d’elle même.
Le 4ème est de muscler chaque jambe de manière équilibrée puisque chaque jambe participe seule au mouvement.
A vélo le gain maximal estimé se situe autour de 30 - 40% de puissance, ce qui se traduirait par un gain de vitesse d’environ 5 Km/h. Le gain moyen se situant, lui, autour de 1 à 3 Km/h.
Un 5ème avantage, important pour nous triathlète, est le gain à pied. En effet, remonter nos jambes va nous obliger à muscler nos muscles de la hanche dans un mouvement similaire à celui fait lorsque nous remontons les jambes en courant (un peu comme si, en PPG, on faisait des montées de genoux). La différence de taille c’est que dans notre cas les manivelles Powercranks nous obligent à le faire sur des périodes infiniment plus longues et le travail est donc plus bénéfique.
On voit donc que sur le papier ces manivelles sont vraiment intéressantes et séduisantes. Passons donc aux choses sérieuses.
Powercrancks ; L’essai :
Bien qu’en contact avec Franck Day depuis longtemps, j’ai mis un peu de temps à commander ces manivelles. Je les ai reçu début novembre et les utilise donc depuis 6 mois (hormis pour les compétitions où je remet mon pédalier Campagnolo Record carbone).
J’ai commencé prudemment sur home-trainer (et avec raison..). La première séance a durée exactement 20’ et je n’aurais pas réussi à faire 30’’ de plus. Ce n’est pas que ce soit extrêmement dur mais les muscles de la hanche, peu habitué à ce genre d’effort, ne pouvaient pas continuer.
Il faut aussi savoir que, pour les mêmes raison, la fréquence de pédalage est beaucoup plus basse que ce dont vous avez l’habitude. Sur mes premiers entraînements j’étais à environ 70-75 tr/mn contre 85-90 d’habitude.
Il m’a fallu 1 mois pour arriver à faire 45 mn.
J’ai décidé alors de faire un test sur la route sur mon parcours vallonné habituel.
1ère particularité : le poids. Le système complet doit peser environ 1 Kg de plus que son équivalent classique.
2ème particularité : le démarrage. Les 2 manivelles étant en bas, il faut en remonter une, appuyer pour faire avancer le vélo mais ensuite l’autre manivelle étant toujours en bas, vous vous retrouvez avec les 2 jambes en bas !! C’est un coup à prendre mais au début je conseille les démarrages en descente….
3ème particularité : les trous ou dos d’âne. D’habitude, pour les éviter, vous mettez vos jambes en opposition et "sautez" l’obstacle. Maintenant, si vous faites la même chose vous vous retrouvez les 2 jambes en bas et les fesses seulement à quelques mm au dessus de la selle. Donc là aussi il faut faire attention au début.
Idem lorsque vous voulez vous mettre en danseuse. Avec les Powercrancks le mouvement ressemble plus à de la course à pied et il vaut mieux s’entraîner sur le HT avant (ou choisir une route déserte…).
Enfin, dans les virages il faut penser à relever la manivelle du côté intérieur, car sinon elle restera en bas et va toucher la route.
Cependant ne vous inquiétez pas car toute cette adaptation se fera naturellement et progressivement. Il faut quand même le garder à l’esprit.
Cette première sortie de 40 Km ne s’est pas trop mal passée mais a été quand même très dure et plus lente que ce que j’avais l’habitude de faire d’environ 10%.
Pendant ces 6 mois j’ai donc d’abord augmenté progressivement les distances (j’en suis actuellement à 135 Km pour ma plus longue sortie. Soit 4h 15). J’ai ensuite travaillé la vélocité pour habituer ces nouveaux muscles à remonter vite (j’en suis actuellement à pouvoir tenir un rythme de 80 tr/mn). J’ai également travaillée la puissance explosive (la force venant d’elle même à cause des gros braquets que l’on tire à cause du manque de vélocité).
Aujourd’hui je suis en mesure de faire mes entraînements classiques, rouler en peloton, accélérer en danseuse… exactement comme avant et tant que je ne dépasse pas 3 heures. Au delà je continue à fatiguer. Par contre il faut savoir que 3 heures de Powercranks équivalent à beaucoup plus lorsqu’on revient aux manivelles classiques.
Le gain est dur à estimer mais il est réel. J’attends les prochaines compétitions importantes pour le quantifier. Ce qui est sur c’est que lorsque je repasse sur mon vélo de compétition j’ai de supers sensations.
Il me reste juste à toujours travailler la vélocité et le volume.
Résumé :
Les manivelles Powercrancks ne sont pas difficiles à installer. Tous les vélocistes peuvent le faire.
Il faut légèrement changer sa position (à minima relever la potence). Vous pourrez ensuite revenir progressivement à votre position initiale.
Tous les avantages attendus sont réels et ne sont pas du marketing. Par contre, tout en restant très appréciables, ils sont moins rapides et importants que ceux annoncés.
Ces résultats sont d’abord sensibles sur des courtes distances.
L’utilisation n’est pas évidente au début et il faut compter plusieurs semaines pour s’adapter au fonctionnement et plusieurs mois pour voir vraiment les effets. Avant cette adaptation toutes les sorties ne sont pas forcément agréables.
Conclusions :
A cause de leur utilisation un peu rébarbative au début et de l’effort musculaire supplémentaire demandé, ces manivelles sont destinées en priorité à ceux qui veulent augmenter leurs performances. Elles peuvent également servir en rééducation puisque chaque jambe travaille avec son propre potentiel.
J’ai demandé à tester ces manivelles car l’idée me paraissait bonne. Aujourd’hui le gain se fait sentir et je suis donc convaincu de leur valeur (même si les résultats ont mis plus longtemps que prévu à arriver). Je vais donc les garder et continuer à faire des tests terrains qui seront maintenant plus concrets puisque les compêts importantes arrivent. je suis persuadé que l’adaptation complète doit prendre au moins 1 an. Après tout, combien de temps avez vous mis pour muscler vos quadriceps ?
Enfin, voici la liste non exhaustive des athlètes utilisant les Powercrancks :
Mario Aerts, Paolo Bettini, Cadel Evans, Stéphano Garzelli, Johan Museeuw, Danielle Nardello, Ned Overend, Graig Bennett, Lisa Bentley, Cameron Brown, Heather Fuhr, Peter Kotland, Barbara Lindquist, Michellie Jones, Chris McCormack, Sheila Taormina, Petr Vabrousek etc...
Intéressés ? Voici le distributeur en France :
Jean Baptiste WIROTH à : http://wts.fr/
Bon pédalage !
mercredi 8 septembre 2010
Classement UCI
Actualisation du classement mondial UCI apres le mondial au Canada avec une 14éme place. Pour l'année prochaine, objectif top 5. Pour cela, il faut participer a plus de course international et progresser sur les chrono pour garder les positions gagner sur les courses en ligne.
Ranking - PARA - Cycling 2010 -2009
Men Elite UCI Ranking C5 - Road
Individual Rank Name Nation Age* Points
1 (2) Wolfgang EIBECK Austria 38 126
2 (3) Michael GALLAGHER Australia 32 111
3 (-) Lauro CHAMAN Brazil 23 96
4 (-) Soelito GOHR Brazil 37 80
5 (4) Angelo MAFFEZZONI Italy 37 78
6 (17) Andrea TARLAO Italy 26 75
7 (23) Pierpaolo ADDESI Italy 34 72
8 (1) Fabio TRIBOLI Italy 44 70
9 (-) João SCHWINDT Brazil 33 56
10 (13) Russ WHITE Great Britain 36 56
11 (9) Benjamin LANDIER France 37 55
12 (5) Radim PAVLÍK Czech Republic 24 49
13 (6) José Anton ARAMBURU Spain 44 48
14 (14) Johan BALLATORE France 30 47
15 (7) Bastiaan GRUPPEN Netherlands 23 47
16 (8) Alain GOOLAERTS Belgium 41 41
17 (10) Damien SEVERI France 25 38
18 (-) Wolfgang SACHER Germany 44 36
19 (16) Patrick CHLEBO Slovakia 36 33
20 (11) Didier LE GUESCLOU France 39 33
21 (-) Cathal MILLER Ireland 42 32
22(12) Alessio BORGATO Italy 37 30
23 (15) Alessandro COLOMBO Italy 37 25
24 (24) David MERCIER France 42 23
25 (17) Mark BRETON Canada 38 15
25 (17) Roland NOSIAN Slovakia 42 15
27 (20) Grzegorz GUZ Poland 39 14
28 (21) Christoph LEITER Germany 40 14
29 (22) Stéphane GAGNÉ Canada 43 13
30 (24) Walter MARQUARDT Germany 49 11
31 (26) Pablo JARAMILLO Spain 33 11
32 (27) Tividar HORVÁTH Slovakia 21 9
32 (27) Steffen WARRIAS Germany 25 9
34 (30) Wolfgang STÖCKL Germany 44 8
35 (29) Rodny MINIER Dominican Republic 24 8
36 (31) Ludwik ODRZYWOLEK Poland 24 7
37 (32) Gianluca FANTONI Italy 35 7
38 (33) Martins DRUSTS Latvia 32 6
39 (34) Roman BOR Slovenia 41 5
39 (34) Francisco TRUJILLO France 52 5
Ranking - PARA - Cycling 2010 -2009
Men Elite UCI Ranking C5 - Road
Individual Rank Name Nation Age* Points
1 (2) Wolfgang EIBECK Austria 38 126
2 (3) Michael GALLAGHER Australia 32 111
3 (-) Lauro CHAMAN Brazil 23 96
4 (-) Soelito GOHR Brazil 37 80
5 (4) Angelo MAFFEZZONI Italy 37 78
6 (17) Andrea TARLAO Italy 26 75
7 (23) Pierpaolo ADDESI Italy 34 72
8 (1) Fabio TRIBOLI Italy 44 70
9 (-) João SCHWINDT Brazil 33 56
10 (13) Russ WHITE Great Britain 36 56
11 (9) Benjamin LANDIER France 37 55
12 (5) Radim PAVLÍK Czech Republic 24 49
13 (6) José Anton ARAMBURU Spain 44 48
14 (14) Johan BALLATORE France 30 47
15 (7) Bastiaan GRUPPEN Netherlands 23 47
16 (8) Alain GOOLAERTS Belgium 41 41
17 (10) Damien SEVERI France 25 38
18 (-) Wolfgang SACHER Germany 44 36
19 (16) Patrick CHLEBO Slovakia 36 33
20 (11) Didier LE GUESCLOU France 39 33
21 (-) Cathal MILLER Ireland 42 32
22(12) Alessio BORGATO Italy 37 30
23 (15) Alessandro COLOMBO Italy 37 25
24 (24) David MERCIER France 42 23
25 (17) Mark BRETON Canada 38 15
25 (17) Roland NOSIAN Slovakia 42 15
27 (20) Grzegorz GUZ Poland 39 14
28 (21) Christoph LEITER Germany 40 14
29 (22) Stéphane GAGNÉ Canada 43 13
30 (24) Walter MARQUARDT Germany 49 11
31 (26) Pablo JARAMILLO Spain 33 11
32 (27) Tividar HORVÁTH Slovakia 21 9
32 (27) Steffen WARRIAS Germany 25 9
34 (30) Wolfgang STÖCKL Germany 44 8
35 (29) Rodny MINIER Dominican Republic 24 8
36 (31) Ludwik ODRZYWOLEK Poland 24 7
37 (32) Gianluca FANTONI Italy 35 7
38 (33) Martins DRUSTS Latvia 32 6
39 (34) Roman BOR Slovenia 41 5
39 (34) Francisco TRUJILLO France 52 5
Fin de saison
en cette fin de saison, dur de retrouver la motivation pour continué a s'entraîner sérieusement. Je vais quand même aller courir samedi a Aubagne pour le championnat départemental FFC. Normalement la condition physique devrait être encore la 15 jours après le mondial, il faut juste remettre le mental dans de bonne condition mais après une saison démarré le 6 fevrier avec 36 courses la saturation se fait sentir. J'ai commencer la course a pied, pour participer a Marseille-Cassis, et c'est du pur bonheur.
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