Après un chrono encourageant sur mes capacitées physique, il reste a effectuer la course en ligne.
Dimanche matin, nous voici sur la ligne de départ de la course de l'année avec un peloton d'un peu moins de 60 coureurs. Certaines nations, on entre 6 et 5 coureurs comme les allemands, italiens, de notre coté on est 4 avec jeremy Crepelliére, david Calmon, damien Severi et moi. La course est lancé a vive allure mais tous le monde est vigilant. Malgré plusieurs tentatives, les échappées sont toujours reprises. Il faut attendre que la fatigue s'installe pour pouvoir prendre l'air. Et a l'amorce de l'avant dernier tour, après une attaque, un contre est placé par fabio Triboli, champion olympique 2008, je saute dans ça roue et le relaye de suite pour le motivé a partir. On parvient a faire le troue et on maintient l'effort quand on voit l peloton se disloquer derrière pour tenter de nous reprendre. Sur la ligne droite qui suit l'arrivée, Gallagher un australien rentre puis un peu plus loin 4 autres fond la jonction. On se retrouvent a 7 dont 2 italiens, 1ukrainien, 1 espagnol, 1 australien, 1 brésilien et moi. Avant de finir le faux plat, 2 autres coureurs avec le champion du monde en titre rentre sur nous, ce qui nous fait 1 italien et 1 brésilien en plus. On est maintenant 9 a l'avant et avec 2 brésilien et 3 italien ça roule costauds ce qui me permet de passer un peu moins a l'avant. On ne peut pas se permettre d'attaquer car le paquet est au cul et surtout on est dans le final. Avant le dernier kilomètre, il y a de petite attaque mais la ligne droite de plus de 800 mètres avec un léger vent de face va nous obliger a faire un sprint. Malheureusement, sur les courses de la veille, il y a eut des chutes sur le rond point a 300 mètres de la ligne et j'ai cette crainte en tête. On s'attaque pour rentrer dans ce rond point et pour éviter les chutes je fait l'effort pour rentrer le premier. Je comptais profité de leur roues en sortant du rond point pour relancer mon sprint mais je leur mets 30 mètres. Il me reste plus qu'a baisser la tête est finir comme je peut, mais je ne suis vraiment pas assez puissant et me fait déborder au 150metres pour finir 7iéme.
Je ne suis pas déçu car j'ai été dans tous les coups et surtout j'avais le niveau des meilleurs car après la coupe du monde en Espagne ou j'avais pris une claque. Je me demander vraiment si j'avais le niveau. Et après une préparation assidu, j'ai réussi a remonter la pente qui m'a mener a ce niveau international.
mardi 13 septembre 2011
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